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Il contribua au renforcement de l'hindouisme en faisant mieux connaître l'interprétation des Véda de Sankara.
Son interprétation des Véda, opposée à celle de Sankara, et la communauté visnuite qu'il fonda à Srïnangam lui ont permis d'exercer une influence considérable sur l'hindouisme.
Il constitue l'un des livres Veda; c'est le plus ancien des livres védiques, composé entre le XVIe et le IXe siècle avant Jésus-Christ. Ses 1 028 hymnes (soit 10 580 vers) à caractère lyrique posent les bases mythologiques, philosophiques et liturgiques du brahmanisme. Bien que ces hymnes soient en majeure partie des louanges aux divinités, il contient aussi quelques hymnes relatifs au mariage et aux funérailles, des hymnes dialogués, d'autres centrés sur l'homme et ses pouvoirs; certains sont de caractère spéculatif ou magique; d'autres encore traitent de cosmogonie.
Il est à noter que le kanji qui permet d'écrire rikichi est formé du qui écrit «homme fort», et du kanji qui écrit «samourai». Ce simple fait explique à lui seul l'importance des lutteurs sumo, et la place qu'occupe ce sport, dans la culture japonaise : ils représentent les derniers samourais, et sont donc adulés comme des demi-dieux.
Dans ce temple de Kyôto se situe un jardin de sable blanc, chef-d'oeuvre de l'art zen, qui exprime dans une organisation minutieuse du dépouillement, la vision abstraite de l'univers bouddhiste. On ne parcourt pas ce jardin paysager sec, ponctué de quinze rochers disposés en cinq groupes (5-2-3-2-3), entourés d'un gravier savamment ratissé, groupes dont l'un reste toujours dissimulé à la vue quelque que soit l'angle d'observation. On le contemple, perplexe ou hypnotisé, assis en silence sur le plancher en cèdre. Par ce jardin, chaque visiteur peut comtempler l'univers. Chacun laisse libre cours à son rêve et peut voir dans ces cailloux entourés de sable une tigresse traversant l'océan suivie de ses petits...
Initialement figure principale des cultes et croyances chinois les plus anciens, le dragon est considéré comme un génie bienfaisant associé au culte de l'eau, et vivant de ce fait (suivant les époques) dans les étangs, la mer ou le ciel. Les crues et autres intempéries sont ainsi reliées à l'humeur de ces animaux fabuleux. Pour cette raison, le dragon est associé à l'élément yin (féminin et liquide) et est donc opposé au tigre, associé à l'élément yang (masculin et solide).
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